source Agence France-Presse

Brune et mal fago­tée, le regard dur et sans une once d’enluminure sur le visage, Vanessa Paradis taille son des­tin à la serpe dans le film qué­bé­cois "Café de Flore", à contre-emploi de son phy­sique éter­nel­le­ment glamour.

C’est "une femme sans argent, sans famille et sans ami qui ne peut comp­ter que sur elle et avance la peur au ventre", résume-t-elle dans un entre­tien à l’AFP.

 

Déjà un succès outre-atlantique

[img_assist|nid=6342|title=|desc=|link=url|url=https://www.facebook.com/Explorezsansfin?sk=app_300969353280667|align=right|width=163|height=256]Sorti au Canada le 23 sep­tembre, "Café de Flore" y a rem­porté un énorme suc­cès. Il est nominé dans 13 caté­go­ries aux prix Génie, l’équivalent cana­dien des César, dont le meilleur film et la meilleure actrice pour Vanessa Paradis.

Pour "Café de Flore", qui sera mer­credi sur les écrans fran­çais, la comé­dienne parle d’un "vrai défi de jouer cette femme qui ne me res­semble pas du tout. J’ai cher­ché une tout autre voie. C’était pas gagné d’avance et c’était cou­ra­geux de me faire confiance", lâche-t-elle.

Et le "Café de Flore" dans cette his­toire ? rien à voir avec le célèbre café pari­sien de Saint-Germain-des-Prés : c’est le titre d’un mor­ceau de musique, un air écouté dans l’obsession sur un tourne-disque par Marin et sa mère jusqu’à deve­nir leur hymne familial.

 

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Brune et mal fago­tée, le regard dur et sans une once d’enluminure sur le visage, Vanessa Paradis taille son des­tin à la serpe dans le film qué­bé­cois "Café de Flore", à contre-emploi de son phy­sique éter­nel­le­ment glamour.

Steven-Paul Pioro

date de création : 2012-01-23 14:35:22

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